Les moulins ont laissé des souvenirs en Graves Montesquieu

 

dans cette page

faire revivre les Moulins à Cabanac et Villagrains 24 juin 2007

faire revivre les Moulins à Léognan 13 mai 2007

texte : Moulin, un parent pauvre du patrimoine, publié dans la bulletin communautaire

les Moulins sur l'Eau Blanche

généralités sur les moulins , publié dans le Journal de la Promenade du SIGM

les vestiges de moulins à Saint Morillon

Le Moulin de Bernachon à Saucats

les vestiges du moulin de l'Aprée à Ayguemorte les Graves

les moulins à eau à La Brède sur carte de Belleyme et le moulin à vent "du Gars"

 

 

 

 

* 24 juin 2007 Journée nationale du Patrimoine de Pays et des Moulins

exposition RUES et CHEMINS par Lacoste, Delpech , Dejean , Joineau; conférence sur les moulins préparée par Vincent Joineau du CLEM ; 11 panneaux explicatifs de l'évolution des voies de communication de Saint Morillon, Saint Selve, Cabanac et Villagrains du XVIII siècle à nos jours ;

 

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* dimanche 13 mai 2007 : AU FIL de l'EAU dans le cadre du développement durable

promenade découverte le long de l'Eau Blanche à Léognan pour 30 à 40 enfants des écoles encadrés par l'association AVENIR : qualité de l'eau, station pompage, photos, MOULINS ...( Julien Herraiz 06 78 24 12 67 - Courriel : julien_herraiz@hotmail.com )

 

* le Moulin , un parent pauvre du patrimoine

 

 

 

* les moulins à Léognan sur l’Eau Blanche

 

Le moulin du Coquillat : Demeure privée , entouré d’un parc arboré ( chênes ) Le moulin de Brisson : Situé au bourg, ce bâtiment à « caractère châtelain » est dissimulé par une haie . Pratiquement en ruines, envahit par les glycines, il est visible de la route de Saucats et de l’arrière du stade municipal. Le moulin de Naudet : En contrebas de la RN 651, il a été détruit il y a quelques années. Le moulin de Pontolic : domaine privé portant le même nom dans le bourg de Léognan. Le moulin des Sables : On aperçoit le moulin depuis l’avenue de la Duragne. Il appartient au domaine de Bagatelle non loin des étangs de la Manufacture. D’un aspect particulièrement original, il permettait, grâce à une pompe hydraulique, de fabriquer de l’électricité. Le moulin de Lamarque : Situé en contrebas du vignoble de la Louvière, abandonné, il a été « dénaturé » par son revêtement enduit. Le moulin de Jacquin : C’est un des plus anciens de la commune, comme en témoigne la fenêtre ouest et son larmier en accolade. Son bief est à sec. Le moulin de Renaud : Restauré, c’est une demeure privée. Situé non loin du château La Tour, son site est encaissé dans un petit hameau. Piou Lacoste

 

* généralités sur les moulins

moulin

Par le passé, le pain étant la base de l'alimentation, les moulins étaient nombreux sur les rivières. Jusqu'à l'apparition des fiefs autour du X °siècle chacun était libre de construire son moulin. Dans les Landes, ceux-ci étaient plus petits et moins coûteux (système à roue horizontale), la féodalisation était superficielle, ils étaient donc plus répandus et servaient à des petites communautés. La Révolution abolit les droits d'eau et de vent (droit de mouture dû au seigneur , exemple Montesquieu en « Graves Montesquieu » ) et l'on en construit de nouveaux. Une réglementation nationale fut nécessaire face à leur prolifération, car trop près les uns des autres et engendrant des conflits à cause des retenues d'eau, une instruction préalable devint obligatoire. Au début du XIX ° siècle, on estimait qu'un moulin fournissait de la farine pour 180 à 290 habitants. Tout au long du Gât- Mort s'échelonnent de l'amont vers l'aval: l'ancien moulin de Timide à la frontière Villagrains Saint-Magne, le moulin de Peyot ou Marquillot, le moulin de Lapujade ou Bouet, le moulin de Rocholat ou Cabanac, ancien moulin du Martinet dont il ne reste que le seuil en pierre taillée ,à Saint-Morillon I' ancien moulin de Lusié, l' ancien moulin du Notaire ou de Gandeys, le moulin de Carat ou de Moussurot, à Saint –Selve le moulin de Lacanau, le moulin de Fortage,à Castres-Gironde le moulin de Pommarède, ancien moulin de Castres aux Ponts,enfin l' ancien moulin de Beautiran, qui fut transformé en papeterie. Dans les Landes, les moulins à farine servaient surtout à moudre du seigle. Leur construction était coûteuse, car il fallait aménager le ruisseau pour obtenir une chute faisant tourner une roue actionnant les meules de pierre . Sur le Gât-Mort, les meules étaient en meulière, pierre qu'il fallait donc importer, peut-être de Dordogne, ce qui coûtait cher. La pierre calcaire vient par contre des carrières locales (carrière de pierre de Curtot réputée très dure à Saint-Morillon, près du ruisseau). Il semble que sur les ruisseaux importants, comme le Gât- Mort, on aménageait une dérivation, tandis que sur les petits, comme le Rieufret, on aménageait un bief en aval d' une petite dérivation. Dans les Landes les moulins étaient sur pilotis. Ici ils sont plutôt en pierre, taillée et solide pour la partie basse (arcade, bief, meule), possibilité de simples moellons ou colombages pour la partie haute. L'Aquitaine est aussi célèbre pour ses moulins fortifiés au Moyen Age. L'indigence des eaux a favorisé la construction de moulins à vent , ça et là, sur les hauteurs (un encore visible de la route à la limite de La Brède et Saint-Morillon, aux « cinq chemins » : le « Moulin Ruiné » ), notamment dans les Landes Girondines (un moulin à vent a été repéré sur la carte de Belleyme près de la limite entre Villagrains et Guillos), plus rarement dans la Haute Lande.

 

 

Dans les Landes, où les rivières sont petites mais nombreuses, les moulins à eau sont à roue horizontale (et non à roue à aube verticale ; système très ancien, ancêtre de la turbine). Ils sont d'une architecture intéressante, enjambant complètement le ruisseau ou le bief (ouvertures pratiquées devant et derrière), avec un arc en plein cintre sous lequel s’abrite la roue que l’on ne voit pas (fosse,parfois cuve). Ces roues sont mues par le choc violent de l'eau sur les aubes, palettes ou cuillers. Un moyeu vertical s'emboîte dedans, entraînant directement les meules, ce qui dispense d'engrenage d'angle. Elles peuvent convenir à de faibles chutes et un grand débit ou au contraire à des chutes de plus de 4 mètres et un débit faible. L'eau y est amenée par une conduite forcée et ces moulins sont dits "à déversoir".. Au niveau du barrage, une pierre en relief, une barre en fer ou une règle graduée en fonte marquait la hauteur maximum des eaux du bief à la crête d'un déversoir en maçonnerie. A l'origine, engrenage et roue étaient en bois, mais ici ils étaient sûrement déjà en fonte, comme dans le reste de l'Aquitaine au XlX ème siècle (sur les axes de communication, contrairement au Limousin où c'est resté en bois). Le moulin de Ginx, à Maillères, donne une bonne illustration de ce que devaient être les moulins sur le Gât- Mort. Ses deux roues horizontales en fonte sont aujourd'hui abandonnées dans le bief, comme peut-être celles du Gât- Mort. Le moulin des Barraques, à Hostens, daté du XV ème siècle, donne une bonne idée de ce qu'étaient les moulins des petits affluents. Celui-ci est petit et utilise l'eau d'un étang alimenté par 6 sources. On a moulu de la farine, base de l'alimentation, grâce aux moulins depuis plus de deux mille ans. Les Xl ème et Xll ème siècles, période de forte croissance démographique, voient les moulins à eau envahir tous les fleuves et rivières (et les premiers moulins à vent apparaître dans le nord-est). Ils ont servi aux usages les plus divers : broyer le chanvre, foulonner les draps, râper les pommes pour en faire du cidre, écraser l'écorce de chêne destinée à tanner le cuir, scier le bois, souffler la forge et battre le fer (ou le cuivre comme au Martinet à Cabanac), préparer le papier. Les moulins à eau surtout ont pu adapter leurs constructions et leurs mécanismes à des utilisations très variées. Ils étaient aussi nettement plus nombreux : en 1809 , 82300 contre 15900 à vent (six contre un). Pourtant dans l'imaginaire ces derniers tiennent la première place, car quelque soit leur importance économique et l'ampleur de leur architecture, les moulins à eau sont toujours dans le creux d’un vallon ombragé, ils se fondent dans leur environnement. Les moulins à eaux ont été supplantés peu à peu par la machine à vapeur, les moteurs à gaz et diesel, et définitivement avec l'électricité. Les petits, mal situés ou sur des cours d'eau peu productifs, sont les premiers à disparaître à partir de 1860. Une réglementation de 1935 les achève, en fixant des quotas de farine et en interdisant à l'existant de se développer, c'est-à-dire de se moderniser, tandis que les grandes minoteries industrielles sont créées. Même les familles de meuniers, devenues propriétaires des moulins mais ne percevant plus de banalité, ne tiennent pas concurrence. Les moulins du Gât- Mort ont sûrement fini dans cette période en broyant du maïs pour les animaux. Dans ce cas, les meules sont modifiées : rainurées plus grossièrement que pour la farine. On peut noter comme anecdote que face à la disparition de ce patrimoine, des articles et des associations de sauvegarde des moulins traditionnels sont apparus dès 1885-1927 et qu'il existe aujourd'hui plusieurs clubs de passionnés en France, des revues et des "molinologues". ( Piou Lacoste )

 

 

 

* Saucats : le moulin de Bernachon

Le moulin de Bernachon fait partie du territoire géré par la Réserve Naturelle Géologique de Saucats- la Brède . Sa visite est donc possible après contact téléphonique au 05 56 72 27 98 , car la vétusté du site présente certains dangers si on ne respecte pas les consignes de sécurité . En entrant côté Réserve Géologique vous pourrez découvrir sur le tableau en pierre de la porte 3 lumières qui servaient à attacher les mules ainsi que « l'anille », signe des meuniers gravé sur une assise du piédroit ; à l'intérieur vous découvrez les deux meules gisantes encore en place et le palan pour les déplacer ; sur le mur côté amont repérez les crans qui permettent de régler l'arrivée d'eau , et la manivelle au pied de l'autre meule . Quelques marques de fabrique sur les meules et quelques dates sont encore apparentes : 1951 indique que le moulin marchait encore il y a cinquante ans , 1877 gravé au dessus des deux arcades au revers du moulin, indique une date de restauration. Ce moulin est le troisième sur le Saucats, car en amont , on repère encore des restes du moulin de Lagüe et du moulin de l'église , et en aval sur la commune de La Brède subsistent le moulin du Perthus , le moulin d'Augey, le moulin de la Mole. Tous sont sur des propriétés privées, et donc non ouverts à la visite .

 

 

* des vestiges de moulins à Saint Morillon( Lusié, Moussurot , Notaire )

 

Saint-Morillon comptait trois moulins pour une population qui, entre 1736 et 1912, oscillait autour de 800 personnes (d’après Joseph Boyreau). Pour les périodes directement antérieures à 1736, on peut supposer que le nombre d'habitants n'était pas très différent . Bien qu’il soit impossible, dans l'état actuel de nos connaissances de dire à quand remonte la construction de ces moulins , rien n'empêche de penser que cette origine n'est pas très éloignée de celle de l'église. La construction d'une église implique une communauté villageoise dynamique et d'une certaine importance ; ce sont aussi les conditions nécessaires pour la construction d'un moulin. Pour le moulin le plus en amont, celui de Luzié , on sait qu’en 1604 il était ruiné (peut-être avait-il été victime comme l'église de Saint-Michel de Rieufret des guerres de religion ?). C’était alors un bien propre de Jeanne de Lestonnac, veuve de Gaston de Montferrand, baron de Landiras, nièce de Michel de Montaigne . La « Maison noble » et le moulin de Luzié sont restés dans la famille des Montferrand jusqu'à leur achat par Montesquieu en 1754. Les Montesquieu en étaient encore propriétaires en 1811. Pour celui du Notaire, le plus proche du coeur du village, on sait qu'il passa sous le pouvoir seigneurial de Montesquieu lorsque celui-ci acheta en 1746 la seigneurie de Saint-Morillon dite de Barsac et c'est ce moulin qu'il choisit pour en manifester la « prise de possession ». Pour le moulin le plus en aval, celui dit de Jean-Bertrand ou du Carat ou encore de Moussourot, il passa en même temps que celui du Notaire sous le pouvoir seigneurial de Montesquieu qui devait aussi le racheter en bien propre, cumulant alors (comme pour Luzié en 1759) la propriété seigneuriale et la propriété immobilière De ces trois moulins, il ne reste que des ruines. Les parties aériennes des constructions (ce que l'on appelle la « chambre des meules ») ont aujourd'hui disparu : toitures et planchers effondrés, murs écroulés. Subsistent, en plus ou moins bon état mais bien discernables, ce que l'on peut appeler « les ouvrages d'art » c'est à dire tous les aménagements dédiés à la gestion ou à l'utilisation de l'eau. Ces aménagements conçus pour résister aux assauts de l'eau ont aussi mieux résisté à ceux du temps. Luzié : En amont du barrage, la rectitude du cours du Gat Mort laisse supposer que le lit d'origine a été fortement rectifié, voire détourné. Du « barrage », conséquent ouvrage de pierre, on peut voir le « déversoir » et les saignées taillées dans les massifs de pierre où coulissaient les « pelles ». En aval du barrage, le «bief» amenait les eaux jusqu'à l'entrée du moulin où « l'avant bec » les séparait pour alimenter chacune des « roues horizontales » qui fournissaient l'énergie aux deux jeux de meules (Volante et Dormante) qui équipaient Luzié. Chacune des deux roues horizontales est mise en rotation selon un principe différent. Dans un cas, une « conduite » amène l'eau sur les « cuillers » ou les « augets » de la roue ; dans l'autre, la roue horizontale (de plus petit diamètre que dans le cas précédent) est disposée au fond d'une cuve circulaire. «L'eau entre suivant la tangente du cylindre, gonfle et s'introduit dans le cylindre en formant un tourbillon ; elle contraint la roue horizontale qui y est de tourner avec elle » (L'Encyclopédie). Bien que le système à cuve soit une technologie plus récente, les deux systèmes décrits ont été utilisés parallèlement jusqu'à l'abandon définitif des moulins. Au-delà du moulin, les eaux du « canal de fuite » passaient par ce qui est qualifié « d'étang du moulin » (cadastre 1846) avant de rejoindre le Gat-Mort. Pour le moulin du Notaire, comme pour Luzié, l'ensemble le plus en amont est le barrage avec son déversoir et l'emplacement des « pelles » plus bas en aval sur le bief. Un « passe-mesure » (écluse) permettait d'évacuer un excès d'eau (ou de vidanger). Le cadastre de 1846 mentionne une autre évacuation vers le Gat-Mort au niveau du moulin. Ce moulin qui tournait à 2 jeux de meules (comme l'indique l'avant bec à l'entrée) n'a pas utilisé le système à cuve. Sur les montants de la porte, dans le seul pan de mur encore debout, on peut observer 7 figures gravées en creux dans la pierre ; ces figures en forme de « noeud papillon » schématisent des « anilles » (l'anale est la pièce qui solidarisait l'arbre moteur et la meule volante pour la mettre en rotation). Ce sont des marques de passage laissées par des meuniers ou des « rhabilleurs de meules ». Nous avions déjà observé ce genre de marques sur les montants d'une porte du moulin de Bernachon ( à Saucats , dans la zone de la Réserve naturelle Géologique , à visiter absolument ) . En aval du moulin, le canal de fuite qui ramenait les eaux au Gat-Mort est encore discernable au travers des propriétés actuelles. Moussourot Pour le moulin de Moussourot, les aménagements les plus en amont sont un massif de pierre comportant un déversoir et un « passe-mesure ». Le barrage qui était plus en aval a aujourd'hui totalement disparu ; on en perçoit cependant encore les traces dans les berges du Gat-Mort ; il était obligatoirement équipé, lui aussi, de « pelles ». Encore plus bas en aval, encore un « passe-mesure » avant « l'avant-bec » du moulin. Celui-ci tournait aussi à 2 meules dont une, comme à Luzié, utilisait le système du « rouet à cuve ». A la sortie, les eaux rejoignaient le Gat-Mort par un « canal de fuite » encore bien visible. ( Philippe Delpech )

 

 

 

* Ayguemorte- les- Graves : vestiges du moulin de l'Aprée

C'est un bâtiment de pierre, rectangulaire avec un étage, perpendiculaire au ruisseau, constitué de deux constructions édifiées dans le prolongement l'une de l'autre ; les matériaux utilisés sont sensiblement différents et les deux parties ne semblent pas de même époque. En effet, pour la partie la plus éloignée de l'eau, les encadrements des ouvertures de l'étage sont biseautées et les appuis de ces fenêtres évoquent les XIV/XVèmeS. Sur le mur pignon du bâtiment le plus récent, situé à deux mètres du ruisseau, sont visibles les traces d'un appentis : trous pour encastrer les poutres, traces de raccordement au mur d'une toiture basse à deux pentes. Aucune trace des aménagements caractéristiques du canal d'arrivée de l'eau comme du canal de fuite. Ce bâtiment n'était pas le moulin mais l'habitation du meunier. L'installation de meunerie proprement dite était située à cheval sur le ruisseau comme l'indiquent les plans cadastraux de 1847 et le confirme une photo ancienne. Le bâtiment a aujourd'hui disparu ; ne subsistent que les éléments de canalisation des eaux. Sur une dizaine de mètres de long on voit encore les restes dégradés de deux murs en bel appareil, espacés d'à peu près quatre mètres. Côté amont des éléments de saignées verticales dans la pierre sont visibles ; à l'extrémité aval du mur rive gauche un gros bloc de silex meulière, enchâssé dans la berge, prouve que ces aménagements sont bien liés à la production de farine. Sur le fond du canal, des restes de maçonnerie dans lesquels on peut encore discerner l'empreinte d'une des « cuves » où étaient implantées les « turbines », ces roues horizontales dont les pales captaient l'énergie de l'eau pour la transmettre aux meules. II n'existe plus de traces visibles des indispensables systèmes de gestion des eaux, trop-plein ou écluse de vidange. Lacoste ( SIGM )

 

 

*le moulin à vent "du Gars"et

et les moulins à eau à La Brède sur carte de Belleyme

 

mouli_vent_frmoulins_la_brede_frSi on ne retrouve que quelques vestiges de ces moulins à eau, on en trouve trace encore dans la toponymie, par exemple le Moulin d'Augey, qui alimentait une scierie et qui a laissé aujourd'hui son nom à une résidence. Ces moulins dans leur majorité se trouvaient sur le Saucats, tels les moulins de l'ancienne baronnie de La Brède, Bois-Pertus, Batant, la Mole, Coudougney, ou encore celui appelé Moulin du Bourg.( où a vécu Montesquieu dans son enfance chez la meunière , sa nourrice) .

Le moulin de Gars est probablement le seul moulin à vent du secteur, Il est indiqué sur la carte de Belleyme sous le nom de moulin de Gars et dont on peut voir la tour, unique vestige, aux 5 routes sur le chemin qui relie La Brède à Saint-Morillon. ( Cristine Cerqueira) .

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